40 ans en grand pour la Maison régionale de l’industrie

*Article complet dans La Tribune, journaliste Simon Roberge, photo Simon Rancourt

(*Article que nous déposons ici sur notre site pour la revue de presse)

Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées mercredi sous un chapiteau sur la rue King Ouest pour célébrer les 40 ans de la Maison régionale de l’industrie (MRI). Un nouveau logo et un nouveau site web ont également été lancés pour l’occasion.

Plusieurs anciens présidents de la MRI étaient sur place dont Jacques-St-Onge, Jacques Demers, Monique Compagna, André Bisson, Pierre Bélanger et Francine Guay.

C’est l’occasion de célébrer les réalisations des 40 dernières années pour les quelque 70 membres de la MRI, mais surtout de regarder vers l’avant selon René Gendron, directeur général depuis 38 ans.

« On était dû pour faire une fête pour le secteur manufacturier considérant tout ce qui s’est passé, mentionne-t-il. Au fil des années, les gens ont changé et nous ont perdus de vue un peu. On veut se remettre en selle. On veut montrer aux gens où on s’en va. »

Stéphane Vincent, président du CA de la MRI et directeur général de Garlock à Sherbrooke, abonde dans le même sens.

« On voit un bel avenir et on trouvait que c’était le bon moment de célébrer les succès du passé. On veut profiter du 40e pour énergiser nos activités. On veut aussi raffermir notre réseautage qui a été impacté par la pandémie. On est en réflexion profonde et stratégique de ce que sera la MRI à l’avenir. »

Les deux plus gros enjeux du secteur manufacturier en Estrie sont bien évidemment la pénurie de main-d’œuvre, mais aussi les problèmes d’approvisionnement.

« Il faut revoir la façon dont on forme notre main-d’œuvre et la MRI est bien placée pour aider les membres, souligne M. Vincent. Le réseautage permet le partage de bonne pratique et la réflexion de groupe. »

« On ne contrôle pas tout ce qui se passe, mais on contrôle notre réaction, poursuit-il. Notre but est de ne pas se victimiser et de tout de suite tomber dans l’action stratégique et réfléchie. On peut s’imaginer que la main-d’œuvre va rester problématique encore plusieurs années. Alors comment est-ce qu’on peut penser autrement et mettre à profit le réseau ? C’est ça qu’il faut se poser comme question. »

SOURCE: Journaliste Simon Roberge, La Tribune, photo Simon Rancourt

Communiqué de presse disponible ICI: 

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